Le nom de Médard Tourville figurait depuis bien trop longtemps sur ma liste de disparitions célèbres. Je savais néanmoins qu’il était décédé entre 1871 — son nom apparaît dans le recensement canadien de cette année-là — et août 1873, moment où son fils Olivier se marie. Continuer la lecture
Archives de catégorie : Des faits (pas si) divers
Des faits (pas si) divers de Montréal : David Tourville (1867-1908)
Grâce à sa notice nécrologique, nous savons qu’au moment de son décès, en 1912, Julie Tourville née Bélisle laissait dans le deuil quatre enfants. Quelques années plus tôt, en 1908, décédait son benjamin, David Tourville. Continuer la lecture
Des faits (pas si) divers de Montréal : Charles Tourville (1840-1916)
Charles Tourville est mon arrière-arrière-grand-père. Il est né à Lachenaie en 1840. Il a déménagé à Montréal avec ses parents, frères et soeurs en 1862 et s’est marié trois ans plus tard avec mon aïeule, Marie-Louise Lascelle. Continuer la lecture
Des faits (pas si) divers du Manitoba : Marie-Louise Tourville (née Labelle) (1858-1931)
Vous vous rappelez sans doute que certains des enfants de Prosper Tourville et de Julie Bélisle ont émigré vers l’Ouest. Si leurs filles Marie-Louise et Julia et leur fils Magloire (Mack) se sont installés au Montana — Marie-Louise est toutefois revenue vivre à Montréal avec son troisième mari — , leurs fils David et Napoléon ainsi que la femme de ce dernier, Marie-Louise Labelle, ont fait de Brandon, au Manitoba, leur ville d’adoption. Continuer la lecture
Des faits (pas si) divers du Montana : Julia Berube (née Tourville) (1853-1920)
Il y a quelque temps déjà, j’avais écrit un article sur Julie Roture dite Bélisle qui avait épousé Prosper Tourville le 25 août 1845, à l’église Notre-Dame de Montréal. Nombre de leurs enfants ont pris la direction de l’Ouest : certains se sont installés à Brandon, au Manitoba, au Canada, d’autres, au Montana, aux États-Unis.
Déjà 2018?!
Je n’arrive pas à croire que 2017 est terminée! J’ai quasiment peur de jeter un coup d’oeil à mes statistiques. Disons que cela n’a pas été mon année la plus productive. Et ça n’a rien à voir avec un quelconque manque d’inspiration — ce sont les heures qui font défaut. Mon travail (non généalogique) à temps plein me tient très occupée.
Enfin, laissons de côté les contrariétés : après avoir refait le plein de sommeil, mettons-nous plutôt en mode planification et place à 2018! Continuer la lecture
Vermont : Des faits (pas si divers) mettant en vedette le Second Régiment du Vermont
Watchman, Montpelier, le vendredi 28 juillet 1865
Le Second Régiment du Vermont, le premier des régiments triennaux à avoir quitté l’État, à une exception près, a été le dernier à rentrer au bercail, ayant regagné Burlington mercredi. Eh bien ! On pourra en dire qu’il a vu la guerre d’un bout à l’autre et qu’il doit à son courage d’avoir réalisé un exploit que peu ou pas de régiments de quelque armée puissent égaler.
Traduction : Danielle Tourville
Il arrive quelquefois que je doive mettre la généalogie de côté, et ce, à mon grand regret! Je n’ai pas pu publier d’articles au cours des dernières semaines. Le Projet Vermont sera de retour la semaine prochaine.
D’ici là, j’ai pensé partager avec vous cet article portant sur le retour du front du Second Régiment après la fin de la Guerre civile. Louis Tourville a été démobilisé le 15 juillet 1865. Il était l’un de ces hommes.
Des faits (pas si divers) : « Funérailles de Joseph Germain »
Middlebury Register, le vendredi 27 août 1915, page 6
Funérailles de Joseph Germain
Les funérailles de Joseph Germain, dont le corps avait été transporté ici samedi depuis la maison de santé de Brattleboro, où il avait été admis pour y être soigné il y a deux semaines, ont eu lieu lundi matin à 9 h à l’église St. Mary’s, célébrées par le Révérend E. F. Cray. Les porteurs étaient William et Lewis Germain, William Kent et Edward Chandler. Une grande quantité de bouquets ont été offerts, plusieurs fleurs magnifiques ayant été envoyées de diverses loges et sociétés. Joseph Germain était âgé de 80 ans et était un résident de longue date de Brandon, apprécié de tous ceux qui le connaissaient. Lui survivent une soeur, Mme Joseph Benoir de Forestdale, quatre filles, Mme Peter Blair de Pittford, Mme Edward Chandler de Brandon, Mme Felix Cole de Middlebury et Mme Griffith Floyd de Granville, N.Y., et deux fils, Lewis Germain de Bridport, Vt., et William Germain de Binghamton, N.Y. Parmi les gens de l’extérieur de la ville ayant assisté aux funérailles, il y avait M. et Mme Griffith Floyd, M. et Mme Robert Jones, Mme Edward Williams, William Kent, Mlle Irene Kent et Mlle Nettie Curtis de Granville, N.Y., William Germain de Binghamton, N.Y., Mme Peter Blair de Pittsford, Mme Felix Cole et trois fils, Felix, Clarence et Laurence de Middlebury, et Lewis Germain de Bridport, Vt.
Traduction : Danielle Tourville
Joseph Germain était l’époux de Nettie Tourville. Né le 30 septembre 1835 à Marieville, au Québec, il est décédé le 20 août 1915 à Brattleboro. Pour lire l’article sur Nettie Tourville, c’est par ici.
Des faits (pas si divers) : « Marié à Clayton », mettant en vedette Charles B. Tourville
St. Louis Post-Dispatch, St. Louis, Missouri, le mardi 22 septembre 1896, page 10
MARIÉ À CLAYTON.
Charles B. Tourville et Katherine F. Molzier ont convolé en justes noces.
Charles B. Tourville est un veuf aux idées romantiques. Il avait décidé de prendre femme à la fois pour prendre soin de lui et voir à l’éducation de ses trois enfants. Pour trouver une épouse, il a cherché à l’extérieur de la ville et, histoire de rester dans le ton, c’est à l’extérieur de la ville qu’il s’est marié. Le nom de la dame est Katherine F. Molzier et elle est originaire de Greenville en Illinois.
Le couple s’est marié à Clayton lundi. Tourville est un ancien chef de train de la Southern Electric Railway.
Des faits (pas si) divers, mettant en vedette le magasin Tourville & Plante
La Patrie, Montréal, le 24 février 1879, page 3
Un cheval prit le mort au dents samedi matin et essaya d’entrer dans le magasin de Messrs. Tourville et Plante, marchands de chaussures de la rue St. Laurent. Le véhicule a été brisé et la vitrine aussi, nous assure-t-on.
Pure coïncidence, j’ai retrouvé dans mes courriels un article envoyé par Marie-Claude Leclaire il y a des années, en lien avec l’article publié hier, portant sur Charles Tourville.
Cet incident s’est produit quelques semaines après le décès de Charles.
Merci Marie-Claude!