J’ai une petite pensée pour toutes ces femmes canadiennes-françaises de Vergennes, identifiées uniquement sous le nom de leur mari. Je réalise à quel point, au Québec, nous sommes chanceux d’avoir accès aux registres catholiques qui fourmillent d’informations. En comparaison, mes nombreuses investigations menées aux États-Unis se sont révélées tellement frustrantes lorsque la personne recherchée répondait au seul prénom de Marie. Certains Canadiens français se sont mariés à l’église protestante au Vermont — malheureusement, les registres n’ont pas survécu. La recherche de leur nom de jeune fille peut s’avérer exaspérante, en effet; mais les découvrir peut être oh! combien satisfaisant!
Mon Projet Vermont, c’est par ici.