Mon ChallengeAZ 2019 en 100 mots (ou plus) | S comme Saint-Jacques-de-l’Achigan

Connu tout simplement sous le nom de Saint-Jacques aujourd’hui, Saint-Jacques-de-l’Achigan était appelé Saint-Jacques-de-la-Nouvelle-Acadie par les premiers arrivants, des Acadiens en provenance de Boston en 1770. Le premier registre paroissial remonte à 1774. Continuer la lecture

Mon ChallengeAZ 2019 en 100 mots (ou plus) | Q comme Québec

J’adore le ChallengeAZ pour plusieurs raisons. Entre autres, parce qu’en cherchant des idées pour chaque lettre, on pousse un peu plus loin notre recherche et on progresse. Mine de rien, en cours de rédaction, de nouveaux détails s’ajoutent à notre arbre. Continuer la lecture

Mon ChallengeAZ 2018 en 100 mots : Q comme Québec

vermont 2016 fre

En fouillant dans les recensements américains, j’ai remarqué beaucoup de nouveaux venus à Vergennes et à Ferrisburgh tout juste avant 1840. C’est fou la quantité de gens — et de familles entières — originaires de Marieville, Saint-Mathias (Pointe-Olivier) et Yamaska qui ont dû quitter leur village pour aller travailler au Vermont. Si certains n’y passaient que l’hiver, d’autres y émigraient définitivement, car les terres devenues rares ne suffisaient plus à la demande toujours croissante. Environ 900 000 personnes ont quitté le Québec entre 1830 et 1920. Sans cet exode, certains avancent que le Québec compterait beaucoup plus d’habitants aujourd’hui.


Mon Projet Vermont, c’est par ici.


ChallengeAZ 2017—Un Dictionnaire pour les Dossiers Bangle | N pour Notaire

Les contrats notariés du Québec (le plus ancien remonte à 1626) permettent aux généalogistes de recueillir de l’information précieuse sur leurs ancêtres. Ces contrats sont variés : ventes de terre, testaments, contrats de mariage, dons entre vifs, inventaires après décès, engagements, marchés, partages et tutelles. Chacune des parties reçoit sa copie originale; celle conservée par le notaire, appelée la minute, est celle à laquelle nous avons accès. Bien que le nom du notaire soit requis pour entreprendre la recherche d’un contrat, il faut reconnaître qu’Ancestry nous facilite grandement la vie avec son index en ligne—même s’il est loin d’être parfait.

Les Dossiers Bangle


Le Challenge AZ 2017 est proposé par Sophie Boudarel de La Gazette des ancêtres

Fichier Origine : consultez-le souvent!

Si vous faites de la généalogie sur vos ancêtres canadiens-français, vous connaissez sans doute le Dictionnaire généalogique des familles du Québec – des origines à 1730 de René JETTÉ. Peut-être y avez-vous trouvé le nom de votre ancêtre ainsi que des informations concernant ses parents et son lieu d’origine. D’aucuns n’ont pas cette chance, n’ayant trouvé que le nom de leur ancêtre sans plus. Un exemple, le nom de mon arrière-arrière (8X) grand-mère, Marguerite Drapeau (env. 1616-1683) s’y trouve. La seule information concerne son mariage à La Rochelle, sans autres détails.

L’historien Yves Landry a eu la bonne idée de donner suite au travail accompli par René Jetté. Mis en oeuvre par Marcel Fournier, généalogiste renommé au Québec, lequel s’occupe également de sa coordination, le Fichier Origine constitue un complément du Dictionnaire de René Jetté. Le projet avait d’abord été proposé à la Fédération québécoise des sociétés de généalogie puis a été entériné par la Fédération française de généalogie. Le site présente un historique complet de cette base de données.

Qui trouverez-vous dans cette base de données? Votre ancêtre, s’il est né en France et a émigré en Nouvelle-France. Si l’acte de baptême n’y est pas, tentez de trouver un de ses frères ou soeurs.

Le nom de Marguerite Drapeau se trouve dans la base de données depuis novembre 2013. J’ai maintenant le nom de ses parents, la date et le lieu de baptême de ses deux soeurs, la date  et le lieu d’inhumation de sa mère et j’ai le nom de son village d’origine : Mouzeuil-St-Martin, en Vendée.

Au 15 avril 2014, la base de données comptait 5 809 noms.

Bonne chance!

Base de données sur les voyageurs : une mine d’or pour les chercheurs et notre famille

Il y a quelques mois j’ai découvert une base données en ligne pour les voyageurs. Il s’agit là d’une vraie mine d’or pour les généalogistes qui recherchent leurs ancêtres canadiens-français. Cette base de données contient des renseignements sur environ 35 900 contrats pour la traite des fourrures qui ont été signés devant des notaires montréalais pour la période allant de 1714 à 1830. Ce projet a été amorcé par la Société historique de St-Boniface au Manitoba.

Vu l’absence de recensements au cours de cette période, cela nous permet de suivre les traces ou le parcours de certaines personnes qui ont signé plus d’un contrat. Vous cherchez des descendants de votre ancêtre et vous n’arrivez pas à les trouver? Cette base de données pourrait vous donner de nouvelles pistes de recherche. De plus, comme il est possible de faire une recherche par paroisse, vous pouvez trouver aisément les parents ou les voisins de votre ancêtre qui sont peut-être partis avec lui. Et si votre ancêtre portait plusieurs noms ou prénoms ou si ceux-ci ont été mal orthographiés, vous pouvez peut-être trouver un contrat qui vous aurait échappé si vous n’avez pas fait la recherche par paroisse.

Pour y jeter un coup d’oeil, en connaître plus sur les paramètres de recherche ou son historique, la base de données se trouve ici.

La famille Hubou-Tourville et la base de données des Voyageurs

Jusqu’à maintenant, j’ai pu retracer les documents suivants grâce à cette base de données :

Comme vous pouvez le constater, beaucoup de travail encore pour moi! 😉