Des faits (pas si) divers : « Accident mortel à Shelburn », mettant en vedette Joseph S. Germain

Pierre tombale de Joseph S. Germain, cimetière St. Marys, Brandon, Vermont [collection personnelle de Diane Tourville]

Pierre tombale de Joseph S. Germain, cimetière St. Marys, Brandon, Vermont [collection personnelle de Diane Tourville]

Burlington Weekly Free Press, 27 avril 1888, page 2


ACCIDENT MORTEL À SHELBURN

Un serre-freins a les deux jambes sectionnées 
par un train — Ses blessures lui sont fatales


Alors que le train de marchandises qui avait quitté Burlington à 3 heures lundi matin procédait à un changement de voie à Shelburn, Joseph S. Germain, un serre-freins, a glissé sous les wagons et a eu les deux jambes sectionnées juste au-dessus du genou. Une partie du train faisant marche arrière, deux wagons, en plus du wagon-citerne, roulèrent sur le malheureux homme, mais comme on l’entendit crier, le moteur fut coupé juste avant que les roues arrière ne l’atteignent. On le transporta à l’entrepôt et l’on fit appeler le Dr Stoddard. On décida de l’emmener à l’hôpital Mary Fletcher; le train fit conséquemment marche arrière jusque dans cette ville où il est arrivé à environ 4 h 30. Continuer la lecture

Des faits (pas si) divers : « La mort d’un jumeau du coin ressuscite une anecdote familiale », mettant en vedette Catherine Tourville et Joseph Chappee

jersey twinsJersey County Democrat, 1932 [date exacte inconnue, après le 27 avril]


LA MORT D’UN JUMEAU DU COIN RESSUSCITE UNE ANECDOTE FAMILIALE

L’orthographe du nom fut changée afin d’être conforme à sa prononciation

Il y a quelques semaines, lors du décès de James Chappee, qui a passé toute sa vie près de Newbern, une anecdote intéressante concernant la famille Chappee a été évoquée et envoyée au Jersey County Democrat par Jos. Chappee vivant à Pine Lawn au Missouri. Le défunt était le frère jumeau de John Chappee, décédé, il y a deux ans. Continuer la lecture

Des faits (pas si) divers : « Il a pris la mauvaise malle », mettant en vedette Joseph T. Tourville

St. Louis Post-Dispatch, le dimanche 1er septembre 1901, page 6


IL A PRIS LA MAUVAISE MALLE

M. Tourville quitte la maison de son fils marié

ET QUAND IL A EU BESOIN D’UNE CHEMISE ?

Bien, il a ouvert la malle à l’aide d’une hache, a découvert qu’elle était pleine de lingerie et a répondu à une petite annonce.


Toute cette histoire a commencé mercredi dernier lorsque grand-père Tourville a décidé de quitter la maison de son fils, C. B. Tourville, habitant au 4719 Greer Avenue, pour aller s’installer au centre-ville. Continuer la lecture